Les Grecs ont dit « non ». Ils n’ont pas dit non à l’Europe ; ils ont dit non à l’austérité et aux diktats imposés sans débat démocratique. Les Grecs ont repris la main. Les peuples peuvent reprendre la main, pour une nouvelle donne politique, sociale et économique.
Nous espérons que les négociations vont pouvoir reprendre très vite, et que la restructuration de la dette publique grecque, insoutenable, sera enfin à l’ordre du jour.